Nous vous informons que la maison sera fermée pour congés à partir du vendredi 20 décembre au soir. Réouverture le jeudi 2 janvier 2025 à partir de 9h. Toute l’équipe Osenat vous souhaite de très belles fêtes de fin d’année !
Alors que Notre-Dame rouvre ses portes, honneur aux armes impériales du sacre de Napoléon Ier et Joséphine, ornant les piliers du bas-côté de la cathédrale, en 1804.
Les 21 et 22 Septembre, la Maison de ventes Osenat a dispersé une partie de la collection Jean-Denis Serena relative au Second Empire. La singularité de cette collection réside dans la motivation qui a présidé au choix des pièces présentées et ce, dans de nombreux domaines éclectiques représentatifs du Second Empire (naissance de la photographie, bibliothèque, céramiques et de nombreux souvenirs historiques de la famille Impériale).
Le chiffre d'affaires d'Osenat est passé de 21,7 millions d'euros au premier semestre 2023 à 32,5 millions d'euros cette année, soit une augmentation de près de 68% sur l'année précédente. Cette performance remarquable a permis à nous maintenir dans le top 10 du classement publié par Le Journal des arts.
Fort de son expérience et de sa passion pour l'histoire, il s'engage à poursuivre le développement du département, en s'appuyant sur les solides fondations établies par ses prédécesseurs.
Après les ventes du sabre de Marengo (4,5 millions d’euros), et du bicorne emblématique de Napoléon (2 millions d’euros), symboles de la gloire de l’Empereur, nous avons l’immense fierté de vous proposer ces armes qui témoignent du moment le plus sombre de la vie de Bonaparte.
Afin de célébrer le bicentenaire de la naissance d’Eugène Boudin (1824-1898), nous consacrerons la première partie de notre prochaine vente aux enchères aux peintres de marines
Du 19 au 22 février 2024, nous vous invitons à la découverte des collections de Raymond et Suzanne Fischof-La Foux, un couple à l’histoire romanesque, dont la collection d’œuvres d’art et de haute joaillerie fût constituée entre l’avenue Foch, où ils résidaient et Monaco, leur lieu de villégiature estival pendant de nombreuses années.
Elle est là. Aussi belle que la dernière fois qu’on l’avait vu. Un coup d’œil suffit pour identifier une voiture d’avant-guerre… même si au final, avec les grands-constructeurs français de l’époque, on pourrait se retrouver juste après le conflit puisque les robes ont mis du temps à vraiment évoluer. En tout cas, on se rend vite compte de la finesse des lignes de la Talbot-Lago T23 Cabriolet et on se dit rapidement que cette carrosserie respire la grandeur.
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