MUSICIENS FRANÇAIS. XIXe-XXe siècles. — Environ... - Lot 157 - Osenat

MUSICIENS FRANÇAIS. XIXe-XXe siècles. — Environ 200 lettres et pièces. Daniel-François Esprit AUBER (1829, 1861 et s.d.), Georges AURIC (1958), François-Adrien BOIELDIEU (1815 et s.d.), Luigi CHERUBINI (1834, concernant la Société philharmonique de Saint-Pétersbourg, et 1836, diplôme de premier prix de piano du Conservatoire de Paris signé en qualité de directeur), Édouard COLONNE (1906, manuscrit de sa préface au livre de Jacques-Gabriel Prod'homme Les Symphonies de Beethoven), Alfred CORTOT (1948), Félicien DAVID (1862, recommandation, s.d., concernant l'autorisation de mettre en musique une poésie de Théophile Gautier), Léo DELIBES (1881, concernant l'adaptation théâtrale de L'Assommoir d'Émile Zola, s.d., concernant une cérémonie à l'Académie française, s.d., au sujet d'une cantate de Camille Erlanger, s.d., concernant la répétition de deux morceaux de sa composition, s.d. sur son œuvre Récit et stances de la bannière sur des textes de Jean de Nivelle, etc.), Louis DIEMER (1879, évoquant le quintette pour piano et vents d'Anton Rubinstein, et 1910 au sujet de la mort de Pauline Viardot), Théodore DUBOIS (1880-1924 et s.d., concernant son Traité d'harmonie théorique et pratique, Charles Gounod, Hector Berlioz, Gustave Flaxland, etc.), Paul DUKAS (1907), Camille ERLANGER (1909, sur son espoir d'une reprise pour son opéra Le Juif polonais, 1912 et s.d.), Gabriel FAURE (s.d.), Charles GOUNOD (1861-1893, dont une lettre cosignée par plusieurs personnes parmi lesquelles Victor Massé), André-Ernest-Modeste GRETRY (1810, concernant son ouvrage De la Vérité, et sur sa collection de cahiers musicaux de Jean-Jacques Rousseau, avec apostille de l'écrivain et musicologue Pierre Hédouin), Yvette GUILBERT (s.d.), Reynaldo HAHN (1911-1936, et s.d.), Fromental HALEVY (1850 et 1860), Jacques IBERT (1937), Vincent d'INDY (1900-1916), Édouard LALO (1888, au chef d'orchestre Jules Danbé, 1901, au sujet de son opéra Le Roi d'Ys), Charles-Édouard LEFEBVRE (manuscrit autographe signé de sa cantate Clovis et Clotilde, 1857, pour le concours du prix de Rome), Victor MASSE (1875, lettre concernant un concours de piano, s.d., citation musicale, provenant de la collection Victorien Sardou), Jules MASSENET (1881-1910, concernant son opéra Hérodiade, etc. ), André MESSAGER (1923, manuscrit autographe signé de son hommage funèbre à Claude Terrasse, et s.d., lettres), Giacomo MEYERBEER (s.d.), Darius MILHAUD (s.d., concernant un de ses articles paru en revue, et s.d., au sujet de sa Sonatine pour flûte et piano), Gabriel PIERNE (s.d., manuscrit musical autographe signé intitulé « Fugue à 3 parties avec un contre-sujet », et 1922, lettre), Ernest REYER (s.d., dont une lettre à Théophile Gautier concernant sa santé et une évoquant son opéra Sigurd), Camille SAINT-SAËNS (1892, 1903, évoquant le succès de son opéra Proserpine à Alexandrie et au Caire, 1913, à Alice Bonheur, « Je n'ai rien oublié de la femme délicieuse, de l'artiste exquise à qui j'aurais tant voulu confier le rôle de Phryné... », s.d., concernant une « comédie de [sa] façon », s.d., « ... Il n'y aurait plus d'originalité, plus de tentations nouvelles possibles si l'auteur, seul responsable puisqu'il signe seul, n'était pas le maître absolu de son œuvre. Et puis, croyez-vous donc qu'on fasse des œuvres d'art à la machine ? Quand on fait son œuvre, on est dans un état cérébral spécial, qui cesse pour toujours quand l'œuvre est terminée , si on veut la refaire, on n'est plus dans l'état, on ne fait plus rien qui vaille... »), Claude TERRASSE (1911 et 1919), Ambroise THOMAS (1884-1885, et s.d. à la cantatrice Pauline Viardot). Edmond AUDRAN (aphorisme autographe signé, 1891, « La musique durera tant qu'on s'aimera... »), François BAZIN (1859, sur son chœur « Les Soldats de Pilate », extrait de son oratorio Le Christ), Julius BENEDICT (s.d.), Louis BEYDTS (1931 et 1952), Louis-Adrien BOÏELDIEU (s.d.), Alfred BRUNEAU (1911-1919 et s.d.), Henri BÜSSER (1907 et 1925), Albert CARRE (1908 et 1909, à Walter Straram, concernant son engagement comme chef de chant à l'Opéra-comique), Léon CARVALHO (s.d.), Gustave CHARPENTIER (1905 et 1910), André CLUYTENS (1962, avec citation musicale), Marcel DELANNOY (probablement 1932, concernant sa musique de scène pour La Paix de François Porché d'après Aristophane), Marc DELMAS (1924), François DELSARTE (s.d.), Marcel DUPRE (s.d.), Philippe GAUBERT (1916, sur son poème symphonique Le Cortège d'Amphitrite, 1934, sur son admiration pour Pablo Casals, 1939, sur Orphée et Eurydice de Christoph Willibald von Gluck, s.d., sur les concerts qu'il dirige, sur son voyage à Bayreuth, sur ses propres compositions, « un recueil de mélodies sur les Stances de Jean Moréas et un concertino pour violon et orchestre », s.d., sur son admiration pour César Franck), Pierre-Barthélemy GHEUSI (1916), Benjamin GODARD (1880-1888, et une s.d. à la cantatrice Pauline Viardot évoquant son opéra Jocelyn et sa Symphonie légendaire), Eugène d'HARCOURT (1908), Henri HERZ (18