BOUCHOT François (1800-1842), école de Ecole Française du XIXe siècle

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BOUCHOT François (1800-1842), école de Ecole Française du XIXe siècle
«Le général François-Séverin Marceau 1769-1796» Huile sur toile (réentoilée- petits soulèvements et manques sur la partie basse) Cadre en bois doré. 152 x 53 cm Le tableau que nous présentons ici est une représentation peu connue du général Marceau. Oeuvres en rapport: SERGENT Antoine Louis François, «François Séverin Marceau- Desgraviers dit Marceau (1769-1796)», Château de Versailles. Biographie: François-Séverin DESGRAVIERS-MARCEAU, né le 1er mars 1769 à Luisant et mort le 21 septembre 1796 à Altenkirchen (Rhénanie- Palatinat), est un général français de la Révolution. Selon Hippolyte Maze, François Séverin Marceau «était grand et bien fait [...] les yeux grands et brun [...] le teint pâle, la bouche [...] couverte par une fine moustache rousse; de longs cheveux châtains [...] l'ensemble de sa personne était plein de distinction et d'élégance». À la Révolution, il s'engage dans la Garde nationale de Chartres. En 1791, il s'engage au 1er bataillon des volontaires d'Eure-et-Loir où il est promu lieutenant-colonel en mars 1792. En 1793, il passe à l'armée du Nord, et demande à entrer dans la Légion germanique, où il est admis avec le grade de lieutenant-colonel. Il est envoyé à l'armée de l'Ouest, où il se trouve mis en état d'arrestation avec son chef Westermann, par ordre du représentant Pierre Bourbotte. Mis en liberté peu de temps après, il a l'occasion de sauver, à la bataille de Saumur la vie à ce même Bourbotte qui, entouré d'ennemis, allait succomber, lorsque Marceau, parvint à le délivrer à temps. Cette conduite lui vaut le grade de général de brigade. Les 12 et 13 décembre 1793, il remporte la bataille du Mans. Accusé d'avoir sauvé une jeune royaliste, Angélique des Mesliers, il est de nouveau mis en accusation et défendu par Bourbotte. Muté en 1794 dans l'armée des Ardennes, puis dans l'armée de Sambre-et-Meuse, comme général de division, il a deux chevaux tués sous lui à la bataille de Fleurus, où il commande l'aile droite. Forcé de lever le blocus de Ma
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