BIENNAIS - COUVERT DE NAPOLEON A SAINTE-HELENE... - Lot 118 - Osenat

Lot 118
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Estimation :
6000 - 8000 EUR
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Résultat : 8 375EUR
BIENNAIS - COUVERT DE NAPOLEON A SAINTE-HELENE... - Lot 118 - Osenat
BIENNAIS - COUVERT DE NAPOLEON A SAINTE-HELENE Cuillère à soupe provenant d’un nécessaire de l’Empereur Napoléon Ier, à Sainte-Hélène, modèle à filets, en argent. Gravé des Grandes Armes de l’Empereur Napoléon Ier et numéroté « 325 » sur la tranche. Long : 21,3 cm. Poids net : 90gr Poinçon de titre Coq 1. Paris (1798-1809). Poinçon de garantie tête de vieillard. Poinçon d’orfèvre de Biennais. Poinçon d’orfèvre de P.B. Lorillon. Présentée dans un écrin recouvert de maroquin bordeaux gaufré, décoré de feuillage et feuilles de chêne, garni à l’intérieur de velours écarlate sur lequel est collé une étiquette autographe signée de Joseph Bonaparte, frère de l’Empereur : « Tiré du nécessaire de l’Empereur : donné par moi, à mon neveu François Clary. 1839 ». B.E. OEuvre en rapport : -Une cuillère, une fourchette et un couteau au même modèle que notre cuillère, présentés dans un écrin identique au notre, et portant une étiquette manuscrite de Joseph Bonaparte « Tiré du nécessaire de l’Empereur, donné par moi, à Monsieur Nicolas Clary » a été présenté (n°105) lors de l’exposition « Au service de Napoléon à Sainte-Hélène. Marchand et Ali », Musées d’Auxerre et de Sens, 30 mars au 29 septembre 2003. -Les deux couverts, fourchette et couteau, issus de ce nécessaire ont été vendu 9.900 € (avec les frais) à Drouot le 8 juin 2015 chez De Baecque & Associés (lot 66 bis). Biographies : Pierre Benoit Lorillon (1757-Actif jusqu’en 1822). Orfèvrerie : Le Couvert. 181 rue Saint Martin. Insculpation : reçu Maître pour Paris le 26 avril 1788. Pierre-Benoît Lorillon travaillait pour le compte de Martin-Guillaume Biennais. Il était spécialisé dans la fabrication de cuillères. Martin-Guillaume Biennais (1764-1843): Tabletier reçu maître en 1788, achète la même année le fond modeste du tabletier Claude-Louis Anciaux qu’il développe. Ayant accepté de fournir le Premier Consul à crédit, ce dernier, une fois Empereur, fait de lui son orfèvre. Biennais en profite pour étendre son activité aux obj
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