RARE portefeuille A soufflets de Paul BARRAS,... - Lot 528 - Osenat

Lot 528
Aller au lot
Estimation :
8000 - 10000 EUR
Résultats avec frais
Résultat : 52 500EUR
RARE portefeuille A soufflets de Paul BARRAS,... - Lot 528 - Osenat
RARE portefeuille A soufflets de Paul BARRAS, député à la Convention nationale. En maroquin rouge à décor de frises d’entrelacs perlés et feuillagés, enrichies aux coins de motifs fleuris, au petit fer à l’or. Marqué sur le plat, à l’or « P.BARRAS DEPUTE A LA CONVENTION NATIONALE » (restes de marquages au fer de l’ancien propriétaire (« M. (…) GRAND RUE DES FRANC BOURGEOIS N°14 A PARIS »). Intérieur du rabat garni de maroquin rouge décoré en suite de frises et d’un semis de fleurettes. Marque à l’or du fabricant « ROBERT MARCHAND ORDINAIRE DU ROI ET DU CLERGE A PARIS » (ROI et CLERGE biffés). Intérieur garni de soie bleu ciel à soufflet bordé d’un galon en passementerie argent. Serrure ovale à trois points en argent décoré au trait à clef triangulaire. A.B.E. (Usures et petit manque au soufflet). Vers 1792. Nota Bene : Il est à noter qu’un jugement de divorce de 1809, nous confirme que le Sieur GRAND demeurait bien au 14 rue des francs bourgeois. Provenance : Vente Tajan de 1994. Expositions : - Exposition du 150e anniversaire de la Révolution française en 1939 au Musée Carnavalet. « 538. DEUX PORTEFEUILLES, marqués au nom de Barras. Coll. de M. Depaux-Dumesnil ». - « Napoléon, Trésor du Premier Empire », Melbourne, 1999. Historique : Paul Vicomte de Barras est né à Fox-Amphoux, en Provence en 1755. Il est élu député à la Convention nationale en 1792, et siégea avec les Montagnards. Élu député suppléant du Var à la Convention en 1792, il siège avec les Montagnards et vote la mort du roi Louis XVI. Après la mort de ce dernier, la Convention, attaquée de toutes parts, nomme des représentants délégués dans les provinces et aux armées. Il part en mission dans les Basses et les Hautes-Alpes, puis une nouvelle fois à l’armée d’Italie. Face à l’insurrection qui se forme à Toulon et craignant un débordement des ennemis, Barras confie à un jeune capitaine d’artillerie, prénommé Napoléon Bonaparte, la défense des côtes de Provence. Nommé Commandant des Forces Armée de Paris
Mes ordres d'achat
Informations sur la vente
Conditions de vente
Retourner au catalogue