CHERADAME Sophie (née Bertaud) 1793-1824 Ecole Française du début du XIXe siècle

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CHERADAME Sophie (née Bertaud) 1793-1824 Ecole Française du début du XIXe siècle
Portrait du Pape Pie VII Huile sur toile monogrammé C.S. et datée 1823 en bas à droite. Réentoilée 93 x 73 cm. Important cadre en bois et stuc doré. Le tableau que nous présentons serait l'une des trois copies réalisées par les élèves de David. Il pourrait s'agir du portrait avec lequel il est parti à Bruxelles. Provenance: Vente du Château de Saussard à Serifontaine, 12 juillet 1987, reproduit. OEuvre en rapport: Château de Fontainebleau, David Jacques Louis (1748-1825), Portrait du pape Pie VII, huile sur bois, h:0.880 m x long: 0.730 m. Biographies: Sophie CHERADAME (née Bertaud) (1793-1824), élève de David, peintre d'histoire, de genre et portraitiste Luigi Barnaba CHIARAMONTI (en religion Gregorio), né le 14 août 1742 à Cesena (Romagne) et mort le 20 août 1823 à Rome, était un moine bénédictin, élu pape le 14 mars 1800. Il prit le nom de Pie VII (en latin Pius VII, en italien Pio VII). À la bataille de Marengo, le 14 juin 1800, la France arrache le Nord de l'Italie à l'Autriche. Le nouveau pape se trouve donc soudain sous domination française. Ce n'est pas un inconnu pour Napoléon qui avait qualifié son discours de Noël 1797 à Imola de «jacobin». Bonaparte décide de reconnaître le nouveau pape et de restaurer les États Pontificaux dans les limites du traité de Tolentino. Le pape ratifie le Concordat par une bulle du 14 août 1801, nomme cinq cardinaux français, écrit aux titulaires des évêchés français de se démettre de leurs sièges, envoie comme légat a latere le cardinal Giovanni Battista Caprara chargé de rétablir le culte en France, et obtient, par ordre du premier consul, la restitution de Bénévent et de Pontecorvo. En acceptant de ratifier, le 15 août 1801, le Concordat conclu entre Rome et le gouvernement français, le pape Pie VII s'engage dans la voie d'une normalisation relative des relations entre le Saint-Siège et la première République française. Les relations entre l'Église et le Premier Empire se détériorent brutalement après le refus du pape de pr
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