EINSTEIN (Albert). Lettre autographe signée... - Lot 69 - Osenat

Lot 69
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EINSTEIN (Albert). Lettre autographe signée... - Lot 69 - Osenat
EINSTEIN (Albert). Lettre autographe signée de ses initiales, en alle_x0002_mand, adressée à Ernst Gabor Straus. S.l., [date de réception manuscrite du 18 février 1950]. 1/2 p. in-folio d'une fine écriture serrée. « DER ANDERE KOMPATIBILITÄTSBEWEIS IST AUCH FALSCH. Es kommt immer darauf hinaus, dass man zwischen einem Gleichungssystem und einem Teil desselben Identitäten konstatiert, aus denen natürlich kein relevander Schluss gezogen werden kann. DAS GROSSE GESCHREI DER ZEITUNGEN IST NUN UMSO KOMISCHER. Die Frage der "Komptibilität" des starken Systems ist also ebenso ungelöst wie in unseren früheren Tagen. Dass aber nur das starke System [il place ici des notations mathématiques] in Betracht kommen kann, ist nicht zweifelhaft. Denn es fasst die 3 bisher im Betracht kommenden Systeme mit bewiesener Kompatibilität zusammen [Albert Einstein place ici des notations mathématiques commentées]. Es ist also das stärkste denkbare System. WENN DAS STARKE SYSTEM ZU WENIG LÖSUNGEN HAT, DANN LIVRES & AUTOGRAPHES JEUDI 29 AVRIL 2021 88MUSS DIE THEORIE AUFGEGEBEN WERDEN. EINSTWEILEN SAGT MIR ABER DER INSTINKT, DASS ES DIE RICHTIGE THEORIE IST... » RECHERCHES SUR LA THÉORIE DU CHAMP UNIFIÉ. Après ses publications sur la relativité restreinte (1905) et la relativité générale (1916), Albert Einstein mena des recherches sur la physique quantique avant de s'atteler à la « généralisation de la théorie relativiste de la gravitation », dans la « théorie du champ unifié ». Se tenant relativement en dehors des grands courants scientifiques de son temps, il consacra ses dernières années à cette vaste entreprise qui, conciliant lois de la gravité, de l'électromagnétisme, et mécanique quantique, devait expliquer l'univers dans son ensemble. Partant du principe de l'importance des propriétés d'invariance, il considérait que la physique devait être pensée comme une géométrie, et en était venu à une théorie selon laquelle la structure de l'espace-temps est le siège de l'interaction gravitationnelle. Il a néanmoins cherché en vain à savoir si cette structure pouvait déterminer d'autres interactions. Malgré cet échec, ses travaux sur la théorie du champ unifié trouvèrent ensuite des prolongements dans la cosmologie évolutionnaire et les théories physiques de symétrie. En outre, la méthode pionnière qu'il suivait là fut ensuite reprise fructueusement, c'est-à-dire une méthode selon laquelle une théorie des lois de la nature est élaborée à partir de l'étude d'équations (fondées sur la simplicité formelle et le principe d'invariance) formalisées sur la base d'une intuition. ASSISTANT D'EINSTEIN DE 1944 À 1948, LE MATHÉMATICIEN ERNST GABOR STRAUS décela une erreur de calcul dans un travail de celui-ci, et, pour corriger cette erreur, écrivit avec lui en 1946 un article intitulé A generalization of the relativistic theory of gravitation. En 1949, ayant quitté son poste auprès d'Einstein à l'Université de Princeton, il publia encore Some results in Einstein's unified field theory. Les deux scientifiques demeurèrent encore ensuite en relation de travail.
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