Eugène Jean-Baptiste Claude GUILLAUME (1822-1905)... - Lot 259 - Osenat

Lot 259
Aller au lot
Estimation :
12000 - 18000 EUR
Résultats avec frais
Résultat : 24 375EUR
Eugène Jean-Baptiste Claude GUILLAUME (1822-1905)... - Lot 259 - Osenat
Eugène Jean-Baptiste Claude GUILLAUME (1822-1905) Plâtre original patiné représentant Orphée charmant les bêtes féroces, symbole de la créativité et de « la pensée créatrice soumettant les forces de la nature, et traduit l’alliance de l’art et de l’industrie », il repose sur une base ronde. Ce plâtre a été exposé à l’Exposition Universelle de 1878 sous le n°4315. Eugène Guillaume obtient une médaille d’honneur1. (restaurations, reprise à la patine) Socle peint à l’imitation du marbre d’époque postérieure. Haut totale H : 197 cm Haut du socle H : 46 cm Provenance: Collection Eugène Guillaume, collection Hector Le Fuel et resté dans leur descendance jusqu’à ce jour. Le commentaire à l’exposition Universelle mentionne 2 «L’ Orphée que l’on voit cette année pour la première fois apporte une note nouvelle. L’élégance nerveuse de l’art italien du XVe siècle a dû passer dans l’esprit du sculpteur et cependant c’est de toutes ces oeuvres celle qui a le sentiment le plus moderne et le plus passionné. Orphée nu, debout, et dont un petit fauve lèche les pieds, élève le bras droit comme s’il obéissait à un sentiment de triomphe inconscient, et tient de la main gauche sa longue lyre, qu’il faisait résonner tout à l’heure et dont l’ébranlement vibre encore dans sa poitrine et son visage. La tête, où respirent l’ardeur muette et le bouillonnement de l’enthousiasme intérieur, est encadrée de longs cheveux féminins ondés, qui sont entremêlés de feuillages, et cette large coiffure librement épaisse, plonge dans l’ombre le front et les yeux. Ce n’est encore que le plâtre, mais on voit d’avance l’effet supérieur du marbre dont la lumineuse blancheur, montant des pieds à la tête sur la surface unie de ce corps droit, sera rompue au milieu du visage par cette couronne de pénombre, qui donnera toute l’intelligence du front et la passion étrange et profonde du regard.Par là ce n’est plus une figure d’homme, mais celle du vates » « Si nous comparons la sculpture française avec ce qu’elle é
Mes ordres d'achat
Informations sur la vente
Conditions de vente
Retourner au catalogue