tableaux du XIXe

Le 17 mars, face à une jeune femme étudiée au fusain par Auguste Renoir (10 000/15 000 €), une élégante peinte par Eugène Antoine Guillon (9 000 € environ) illustrera le raffinement d’un XIXe siècle qui n’oubliera pas ses classiques, Alexandre-Marie Colin représentant Suzanne et les Vieillards en 1866 (autour de 5 000 €). Qu'elle soit sauvage, avec les sangliers peints dans la neige par Georges Frédéric Rötig (4 500/6 000 €), ou domestiquée par l’homme comme l’évoque René Charles Edmond avec ses Moutons et bergers (2 750 € environ), la nature sera reine. Place aux vins, le 8 mars, débutant autour d’une vingtaine d’euros. Les millésimes remonteront le temps : 1947 pour un cheval-blanc (1 500/1 800 €) et 1914 pour un lafite-rothschild (700/800 €). Quelques grands portos joueront également le jeu, avec leurs mises en bouteille dans les années 1910-1920, mais la palme reviendra à une fine-champagne de 1811.