BARON GERARD, d’après. Ecole française du... - Lot 284 - Osenat

Lot 284
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BARON GERARD, d’après. Ecole française du... - Lot 284 - Osenat
BARON GERARD, d’après. Ecole française du XIXe siècle « Armand de Caulaincourt, Duc de Vicence, portant les ordres de la Légion d’honneur, de Saint André et de Sainte Anne » Huile sur toile (restaurations). Marque au pochoir au dos « Vallé et Bourniche Successeurs de Belot rue de l’arbre sec n°3 ». Cadre doré à palmettes. 82 x 65 cm Avec cadre : 100 x 83 cm Historique : Le portrait posthume d’Armand Augustin Louis de Caulaincourt, duc de Vicence est réalisé par Gérard en 1829. On ne sait que peu de choses de cette œuvre (conservée de nos jours en mains privées), mis à part qu’elle possède les mêmes dimensions que notre œuvre. De plus, le présence de la marque de Vallé et Bourniche au dos, comme d’autres œuvres de Gérard et de son atelier, laisse penser que notre tableau a pu être exécuté par l’atelier du grand peintre. Ainsi le portrait de Madame Pasta par Gérard, conservé au Musée Fabre, possède également cette marque. Biographies : Armand Augustin, marquis de Caulaincourt, duc de Vicence (1773-1827). En 1788, à peine âgé de 14 ans, il s’engage au régiment Royal-étranger en qualité de simple cavalier. En novembre 1789, il est promu sous-lieutenant dans le même régiment, devenu 7e régiment de cavalerie. Le 25 novembre 1791, il est nommé aide de camp de son père, le général de Caulaincourt. En mars 1795, il est nommé capitaine aide de camp du général Aubert-Dubayet. Il est nommé chef d’escadron le 25 décembre 1795 (4 nivôse an IV), et il suit son général lorsque celui est envoyé en qualité d’ambassadeur à Constantinople. En 1800, il commandait le 1er régiment de Carabiniers. Il fut chargé de missions en Russie en 1801. Général et aide de camp de Bonaparte (1802), il fut ambassadeur en Russie de 1807 à 1811. Ministre des Affaires étrangères en 1813-1815, il fut partisan de la paix et représenta Napoléon au congrès de Châtillon (1814). Il fut également grand maréchal du Palais à la mort de Duroc, avant d’être remplacé par Bertrand. A la Restauration, il fut rejeté
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