Edouard DETA ILLE (1848-1912) Ecole Française... - Lot 345 - Osenat

Lot 345
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Edouard DETA ILLE (1848-1912) Ecole Française... - Lot 345 - Osenat
Edouard DETA ILLE (1848-1912) Ecole Française « Le général Bonaparte durant la campagne d’Italie » Crayon gras, aquarellé et gouaché. Cachet d’atelier en bas à droite. Sous verre. Cadre doré à palmettes. 64 x 40 cm - Avec cadre : 88 x 64 cm Provenance : Vente Osenat du 10 juin 2007, n°222. Biographie : Jean Baptiste Édouard DETAILLE (1848-1912). Issu d’une famille proche des milieux militaires - son grand-père était intendant de la Grande Armée, sa grand-tante avait épousé l’amiral Villeneuve - Édouard Detaille voulait être peintre et étudier avec Alexandre Cabanel. En définitive, il fut formé dans l’atelier de Meissonier, qui lui fournit le sujet de la première toile qu’il exposa en 1867. Mais dès l’année suivante, il exposait un tableau militaire de son temps, « La halte des tambours ». Cette oeuvre marqua le début d’une longue et brillante carrière de peintre d’histoire, avec une prédilection pour les scènes militaires. La peinture de Detaille se rattache au réalisme et au naturalisme. Detaille peignait lentement et de manière méthodique, de façon a produire des oeuvres aussi réalistes et précises que possible. Lorsque éclata la guerre de 1870, Detaille s’engagea au 8e bataillon d’infanterie mobile et, en novembre 1870, se trouva attaché a l’état major du général Ducrot et participa aux combats aux environs de Paris. Il put observer les régiments dans le feu de l’action sur la Marne. Cette expérience devait le marquer profondément et inspirer certaines de ses meilleures toiles comme « Salut aux Blessés » (1877), « La défense de Champigny » (1879), « Le soir de Rezonville ». Avec Alphonse de Neuville, il produisit deux grands panoramas des batailles de Champigny et de Rezonville. En 1872, il dut retirer du Salon deux scènes de batailles qui auraient pu offenser l’Allemagne. De même en 1877 et sur la demande du directeur des Beaux-Arts, Charles Blanc, l’oeuvre « Salut aux Blessés! » qui dépeint le salut d’officiers allemands envers une colonne de prisonniers franç
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