Ecole française du milieu du xixème siècle... - Lot 459 - Osenat

Lot 459
Aller au lot
Estimation :
800 - 1200 EUR
Résultats sans frais
Résultat : 2 250EUR
Ecole française du milieu du xixème siècle... - Lot 459 - Osenat
Ecole française du milieu du xixème siècle « Joseph Fouché, duc d’Otrante, (1759-1820) en redingote, portant la croix de chevalier de l’ordre Royal de l’aigle d’Or » Rare buste en biscuit, portant au dos un numéro en creux « 41 ». B.E (petites restaurations) Ht : 24 cm. Biographie: Joseph Fouché, dit Fouché de Nantes, duc d’Otrante, comte Fouché, homme politique français né le 21 mai 1759 au Pellerin près de Nantes et mort à Trieste le 26 décembre 1820. Il était préfet des études chez les Oratoriens de Nantes lorsqu’éclata la Révolution française. Il en embrassa la cause avec ardeur, et fut élu député en 1792 par la ville de Nantes à la Convention, où il fit partie du comité de l’instruction publique. Il fit partie du parti des Girondins avant de voter la mort de Louis XVI et de basculer sur les bancs des Montagnards. Dans la Nièvre et la Côte- d’Or en 1793, il fut l’animateur du mouvement de déchristianisation et de la répression antinobiliaire. Il fut employé ensuite par le Directoire dans sa police secrète, puis il fit des affaires avec les banquiers Ouvrard et Hainguerlot et obtint, grâce à Réal, une participation dans une compagnie de fournisseurs aux armées. Nommé le 11 vendémiaire An VII (1er octobre 1798) ministre plénipotentiaire près la République cisalpine, il fut remplacé dès le 26 frimaire (16 décembre) et dut de nouveau se cacher. Il fut nommé ministre de la police le 2 thermidor (20 juillet1793) pour s’opposer à l’agitation jacobine et mettre fin à l’activité du club du Manège. Il déploya dans ce poste une grande activité ainsi qu’une sagacité rare, et rendit service à Napoléon Bonaparte lors du coup d’état du 18 brumaire An VIII (9 novembre 1799). Le premier Consul le maintint dans son poste et il conserva ainsi son portefeuille de ministre. Mais le 26 fructidor An X (13 septembre 1802), critiqué par Talleyrand, son ennemi de toujours, et les frères de Bonaparte, il fut congédié, le ministère fut dissous, conservant toutefois un rôle dans l’arrestat
Mes ordres d'achat
Informations sur la vente
Conditions de vente
Retourner au catalogue